Un sens de « sentinelle » donne l’idée d’une lettre qui reste sur le « marbre » (vocabulaire d’imprimerie). « Lettre qui tombe d'une page et reste debout sur le marbre lorsqu'on enlève la forme ».
La forme est la partie reçoit l'encre et qui sert à imprimer directement la feuille de papier. Le marbre se dit de la table de pierre ou de métal sur laquelle on pose les pages, pour les imposer, et les formes, pour les corriger.
Il y a aussi le format « grand aigle ».
La marque « s’imprime »
Il y a l’idée d’une « tombe » ici (un marbre = une pierre tombale).
Alors, est que cela concerne 71721075 ?
Les mettre à l’envers SLOIZLIL. Bof
La forme présente la lettre « en miroir ». Vu dans un miroir, le 7 ne donne rien (x ou F). On obtient 2x015x1x ou ZxOISxIx (ZFOISFIF). Ces 3 « 7 » correspondraient à 3 ombres à remplacer. Par quoi ?
Faire tomber des chiffres ? 717 21075 bof x1x210x5. Bof. Pourquoi faire cela ?
Si on en revient au mot sentinelle, il y en aurait 8 (les 8 chiffres) restés sur la « tombe visuel ».
On peut donc supposer qu’il y avait d’autre chose qui sont parties avec la feuille. Ajouter des éléments.
Avec l’idée de la « vision miroir », il faut compléter ZFOISFIF (ou ZxOISxIx) pour former quelquechose. Il y a certainement plusieurs mots. Il faut sans doute une limite au nombre de lettres. En s’imposant de démarrer par Z, on restreint les possibilités d’expression intelligible.
ZERO ISxIx (le premier x est ER) ISERIER ne veut rien dire. ISERE impose ERE pour le second x. Il reste Ix soit IERER. KO
Zone
Zero
Zonier
Zoom
Zouave
Zombi
Zodiaque
Sloty
La plupart impose de trouver ensuite ISxIs. C’est trop aléatoire.
Zéphyr est le vent d’ouest (dos au ponant). Il ne s’écrit pas zéfir. « Zéphyr oisif » peut passer :
ZxOISxIx
3 ombres
Zéphir OIS_If
Le premier x vaut « éphyr », que le second ne vaut rien et que le troisième vaut F. Le «7=F » ne serait là que pour aiguiller. Que voudrait dire cela ?
Un lien vers les vents ? (pompe)
Un lien vers eros donc 470 où zéphir/eros est oisif c’est à dire que sa flèche ne vise pas le coeur. Bof.
Nous sommes dos au vent donc le zéphir donc oisif. Et alors ? S’arrêter là ? Bof.
Zéphir : laine à 2 fils à torsion. ?? (en 520, on aura dénoué les fils).
Oisif : désoeuvré, riche.
Rester dos au vent ? Le nom des allures des vents. Si on abat on passera grand largue, de travers, ou au près. La flèche s’est abattue, elle est devenue oisive... En 420, la flèche s’abat (s’éloigner du lit du vent) et « se hâte » (elle est active). On est donc dans une situation opposée.
Cela peut vouloir dire que l’on doit rester parallèle à la ligne de sol (et non perpendiculaire comme en 420), que les 1969,697 servent cette fois-ci.
On est dos au ponant. La flèche abattue va au nord (improbable) ou sud. L’idée serait que la mesure est bonne cette fois-ci