On dénote (à juste titre) la sous représentation des femmes dans les instances dirigeantes. C’est vrai pour les instances politiques et les directions d’entreprises.
Par ailleurs, le modèle d’accès à ces instances dirigeantes passe notamment pas les « grandes écoles ». Cette situation est peut être criticable mais, c’est un fait. C’est un fait « asexué ».
Enfin, on nous serine continuellement que « jusqu’au bac » les jeunes filles réussissent mieux à l’école que les jeunes garçons. Sur ce point, je n’y crois pas trop (je ne crois pas l’inverse non plus : il me semble qu’il y a un équilibre).
Toujours est-il que ces brillantes jeunes filles sont ensuite sous représentées dans les grandes écoles. Voilà un autre fait. Et pourquoi le sont elles ? Parce qu’on les refuse ? Non ! C’est parce qu’elles ne « veulent » pas y aller !
Bref, le problème vient des femmes elles-mêmes : à elles d’assumer leur soif de pouvoir !