Les cas de divorces sont généralement autant d’exemple qui avantages les femmes.
On pense évidemment au cas américains de femmes qui volent de maris en maris et accaparent chaque fois la moitié de la fortune de ceux-ci. Les cas français sont moins tranchés.
Si la pension alimentaire lié à la garde des enfants n’est pas anormal, la pension compensatoire est sidérante :
« Une fois le divorce prononcé, chacun des ex-époux doit en principe ne compter que sur ses propres revenus pour subvenir à ses besoins. Mais, lorsque la séparation entraîne une disparité de niveau de vie, celui des deux qui subit ce déséquilibre peut obtenir de l'autre une prestation compensatoire indépendamment des torts de chacun. La prestation peut être obtenue dans toutes les procédures, qu'il s'agisse d'un divorce par consentement mutuel ou contentieux (divorce accepté, pour faute ou pour altération définitive du lien conjugal). »
Evidemment, c’est en pratique la femme qui bénéficie de ce privilège.
Il y a aussi la question du partage des biens. Cela dépend d’un éventuel contrat de mariage. Malgré tout, le modèle étant que le mari perd le surcroit de revenu qu’il a apporté au couple pendant la durée du mariage.
Bref, en pratique le mariage est un piège pour les hommes. C’est d’ailleurs pour cela que toute l’éducation des filles consiste à apprendre comment tendre les rets pour les y faire tomber.