La formulation des solutions des énigmes m’apparait comme un exercice indispensable. En effet, ce n’est pas tout d’avoir l’idée générale et la « réponse », il importe de comprendre l’articulation de la démarche et les différents « arguments » constitutifs.
Cela me semblait indispensable en tant que chercheur pour pouvoir (se) contrôlé. Mais c’est aussi imposé par la construction de la chasse. En effet, l’ordre des arguments (des « coïncidences ») est essentiel. Par exemple, ce n’est pas la même chose en 420 de considérer que l’on repère les planètes et leur période de révolution pour décoder le texte ou inversement que l’on décode le texte ce qui permet ensuite de trouver les planètes puis leur période de révolution.
L’énigme qui me donne le plus de fil à retordre en la matière est la 650. Les coïncidences sont innombrables : il importe de les ordonner pour construire la solution.
Enfin, ceci s’avère (à mon avis qui n’est plus humble) décisif pour la dernière partie. L’extraction des reliquats suppose d’avoir une description précise des solutions.