En 470 : « par l’ouverture tu verras la lumière »
En 560 : «avant de voir par l’ouverture la lumière céleste ».
En 420 : « du ciel vient la lumière ».
Le passage 420->560 suggère que la lumière « céleste » est fournie par 420 (la flèche d’Apollon par exemple qu’il a fallu trouver).
Le triplet voir/lumière/ouverture que l’on retrouve en 470 et 560 suggère au premier abord que c’est la même opération. C’est je crois une fausse piste. D’abord, le qualificatif « céleste » suggère que ce n’est pas la même lumière. Ensuite, l’ouverture signifie « tout 530 » et non seulement Bourges : c'est-à-dire que la visée n’est pas simplement un trait sur la carte (dans un au moins un des cas).
A l’opposé, on peut se dire que la visée se passe sur la carte de 530.
En effet le bec du coq pointe vers Roncevaux (470) et Cherbourg (560). On aurait affaire au cercle de diamètre Cherbourg – Roncevaux (qui serait la lumière).
Ce serait alors 420 qui donnerait une autre contrainte afin d’arrêter les éléments.
En 560 le parcours serait il le long de ce cercle ?