Avec la chasse, on apprend des choses. Ainsi de la main guidonienne.
http://www.encyclopedie-universelle.com/gerbert-aurillac-sylvestreII.html
On lui attribue une représentation mnémotechnique de son propre système : la «main guidonienne». Sur la face interne de la main gauche ouverte, les jointures et les phalanges des cinq doigts figurent l'ensemble des degrés de l'échelle musicale, répartis en sept séries de six sons. Cette disposition inédite place les sons sur une portée de quatre lignes. De plus, Guido trace en début de ligne une lettre-clé pour indiquer le son central de la série considérée, c'est-à-dire sa valeur d'intonation. Enfin, il choisit un hymne à Saint Jean-Baptiste* dont les premières syllabes, qui montent d'un degré à chaque vers, coïncident précisément avec les six premières strophes de l'échelle. La première strophe de l'hymne fournit ainsi leur nom à ces degrés, soit, ut, ré, mi, fa, sol, la. Dès lors, il est possible de déchiffrer une mélodie sans l'avoir jamais entendue et de se libérer ainsi des incertitudes de la mémoire (il existe une autre version de la création de notation musicale, mais par le moine français Gerbert)."
http://medieval.mrugala.net/Musique%20medievale/Enseignement%20musical.htm
Je ne comprends pas tout ! A comparer, la chasse est presque plus limpide !
Les liens sont dans 580 et 500 pour les notes. A noter que la portée présente dans 500 fait 5 lignes et qu’il est question de 4 « au temps de Gui D’Arezzo ». En 600 il y a une main (gauche) et il est question de clef.
Ceci suggère que s’il y a exploitation de la main guidonienne, ce n’est pas directement en 600, mais après (en 500 ?). Quelle pourrait être cette exploitation ? Qu’apporte la notion de main guidonienne ?
Sept séries de six sons ?
Harmonie = accord des opposés (la 780 ?).
Intervalle mélodique ?
Monocorde ?
Méthode mnémonique (tout ça pour ça ?).
Lignes échelonnées en tierce
Cryptogramme (Paul diacre). « Ce cryptogramme a été découvert par nous-mêmes et présenté dans notre thèse sur La figuration mélodique du chant grégorien, soutenue à Paris-Sorbonne en février 1981. Notre directeur de recherches, M. Jacques Chailley, en a complété l'explication ; voir son article «Ut queant laxis et les Origines de la Gamme», dans Acta Musicologica, LVI, 1984/1, pp. 48-69 ». Commentaire : je n’ai pas trouvé l’explication du cryptogramme.
http://www.mus.ulaval.ca/reem/REM_22_Transposition.pdf