En 530, on peut affiner la solution comme suit.
BOURGES, œil = centre de la France.
Puis on exploite le couple de phrase de la fin.
POUR
TROUVER
MON
TOUT
IL
SUFFIT
D’ETRE
SAGE
CAR
LA
VERITE
EN
VERITE
NE
SERA
PAS
AFFAIRE
DE
DEVIN
On trouve VERITE et ETERNITE. Cela grâce à un blocage à 4 et 7 lettres.
Or « 4 et 7 » avec Bourges, c’est la latitude de 47 degrés (ce qui est étayé par « devin = 2 20 » qui est la longitude).
Avec la notion d’ouverture, il semble logique que la solution soit finalement « 47 degrés ».
L’IS « reste simple en 530 » va à l’encontre de cette solution légèrement compliquée.
Le 4 et 7 provient plutôt de 780 et il est difficile à trouver ici.
Il n’apparait pas possible de consolider la solution au sein de 530. Par exemple, je ne vois pas de rapport entre la latitude et l’œil ou le coq.
Donc difficile d’affirme que c’est « la » solution de 530.
L’intérêt de cette approche est sur 780. Cela peut en changer la solution car 47 degrés en devient un « input » et non quelque chose que l’on trouve « pendant 780 ».
La première possibilité est que cela ne change rien à la solution (qui reste cohérente). Donc tout cela pour rien. (Autrement dit, rien d’impose cette lecture).
La seconde possibilité est que la mesure (qui doit se trouver avec un compas) est telle que celui-ci soit ouvert à 47 degrés : c’est à mon avis la seule conséquence logique de l’hypothèse « 530 dit 47 degrés ». Cela change pas mal de chose pour 780 !
Les idées de conflit, de « mesure à prendre », de ne pas avoir « toute latitude » restent valide.
Les liens 4 et 7 aussi (dont l’idée des pieds du poème). Mais cela est un peu incongru (inutile ?). Pourquoi autant insister sur 4 et 7 en 780 si l’on a déjà 47 degrés avec 530 ?
L’absence de N, le choix du sud aussi (axe méridien/boussole).
Rosse = mauvais étalon aussi.
Le pas et l’idée du compas aussi
Il reste à expliquer : le cocher comme « du mauvais coté du choix » et une explication sur « pourquoi le sud ».
A/ Le premier cas est que 780 donne la longueur des branches du compas.
Il parait improbable que ce soit un pas (74 cm).
Il n’y a pas vraiment une logique pour que ce soit une coudée (47 cm).
On peut imaginer que ce soit un pied de 33 cm. Dans ce cas la mesure vaut 2 * 33 * sin(47/2) = 26,32 cm. Mais cela n’a pas beaucoup de cohérence.
En pratique, c’est compliqué et injustifié.
B/ Le second cas est que le compas soit déterminé par le cercle du visuel (connaissant son ouverture, on trouve la longueur de la branche). Voilà quelque chose de complètement déterministe et relativement logique. Le rayon valant 5,25 – la longueur est 5,25/sin(47/2) = 13,17 cm. On a l’outil !
B0/ Il parait improbable que ce soit là la valeur de la mesure. Il suffirait de prendre le rayon du cercle ! L’ouverture ne servirait à rien.
B1/ L’ouverture est toujours la même et la mesure est donnée par la hauteur du compas qui varie selon les cas. Faire cela, c’est tourner un peu en rond (à quoi bon se casse la tête à determiné le « bon outil » avec 780)! Il faudrait une certaine validation de 13,17.
B2/ On a désormais le compas et la mesure est donnée par son écartement qui peut varier dans la suite. C’est un usage logique. L’ouverture de 530 n’a pas à être valable en permanence amis n’a servi qu’a trouver cet outil.
On peut remarquer que le compas ressemble aux aiguilles d’une horloge (qui s’inscrit aussi dans un cercle – mais c’est un autre cercle)
B2a/Il faut trouver l’ouverture à chaque fois par une astuce ad hoc. Cela est peu probable
B2b/Afin que cet angle d’ouverture ne soit pas un paramètre complètement libre (sinon on n’a pas beaucoup progressé) la logique voudrait que cet écartement soit lié à l’orientation (plein sud ici). Mais comment cela fonctionne ?
Par exemple, lorsque l’on est « dos au ponant » (donc face à l’est), que vaudrait cet écartement ? Il parait improbable de devoir prendre la longitude (est) du lieu.
La latitude, c’est l’angle au centre de la Terre (entre le projeté sur l’équateur et le point). Si l’on ne regarde pas au sud, il n’y a plus de projeté sur l’équateur donc il y a un problème
On peut aussi voir la latitude comme l’angle entre la verticale du lieu et le plan équatorial (ou de la position du soleil à midi à l’équinoxe). Cette dernière vision pourrait trouver une illustration dans le cadre du visuel. Le sud c’est le midi.
Ce serait donc la position du soleil au « bon moment » et au « bon jour ».
Si l’on revient à notre cas du « ponant », on est face au levant : on peut supposer que c’est le moment du levé du soleil à l’est (donc 6h heure solaire à l’équinoxe).
Remarque, le soleil n’est jamais au septentrion donc dans ce cas la mesure n’a pas de sens dans ce cas.
Donc on a un compas de 13,17 cm, la mesure est donné par l’écartement de ce compas en prenant comme ouverture l’angle entre la verticale du lieu et la position du soleil au moment où l’on a besoin de la mesure.
Cette piste est cohérente.
Elle est compliquée
Elle explique « le sud »
Elle n’explique pas « cocher »
Elle manque d’éléments pour l’étayer (notamment le mode de fonctionnement)
Accessoirement cela donne un « petite mesure » pour la suite et c’est un inconvénient.
En 420, c’est un peu l’idée de la mesure vers le zenith (=verticale du lieu). Il y a un inconvénient à ce que l’info soit fournie d’une part et si tard d’autre part.
ð Au final, cela ne semble pas cela
C/ L’idée est de placer le compas trouvé dans un cercle (de rayon 13,17 cette fois-ci qui est donc la mesure suivante) et de réitéré le processus avec l’ouverture de 47 degrés (qui reste fixe tout au long de la chasse). Donc la mesure est multipliée à chaque étape (par 2/sin(47/2)).
Mais bof.
D/ Idée de compas = aiguille d’horloge
Le sud c’est midi donc pas d’écartement. Donc cela ne vas pas.
47 degrés entre les 2 aiguilles peut convenir à 2 fois 11 horaires différents (1h 17 environ, 2h 23,…). Il y a 11 énigmes : ce serait autant d’horaires ? Quel rapport avec le besoin d’une mesure de distance ? Il faudrait une durée et une vitesse. Mais en 780, comment interpréter cela ?
Donc cela ne marche pas bien
Bilan.
Cette nouvelle approche apporte une seule solution possible (B2b).
Si cette hypothèse était vraie, elle modifie profondément les « tracés » des énigmes suivantes.
On a vu 420 (HS) et 650. Il reste le cas de 500 (et 560).
Où est le soleil en 500 ? Toujours à midi à l’équinoxe ? Fourni par la lumière de 470 ? Par les ténèbres illuminées de 600 ?
Bref, si devais reprendre ma piste je suivrais celle-là. Mais pour l’instant je garde la mienne.