"Si le principe de précaution avait existé au paléolitique, l'humanité n'aurait pas inventé le feu".
Jean KERVASDOUE
Et elle aurait disparu et avec elle le principe de précaution.
"Si le principe de précaution avait existé au paléolitique, l'humanité n'aurait pas inventé le feu".
Jean KERVASDOUE
Et elle aurait disparu et avec elle le principe de précaution.
Dans cette rubrique « idée courte », je vais y mettre des « question courtes » ou bien « les mystères que la science ne me semblent toujours pas avoir résolu ».
Pourquoi est que l’on se frotte les yeux lorsque l’on a sommeil ou que l’on est fatigué ? Quel rapport entre la fatigue physique ou psychique d’une part et l’activité mécanique consistance à presser les globes oculaires ?
En toute ceste annee ne sera qu’une une, encores ne sera elle poinct nouvelle […] ja ne sera aultre Lune que celle laquelle Dieu crea au commencement pour luyre ey guyder les humaisnd e nuyct.
Ceste annee les aveugles ne verront que bien peu, les sourdz oyront asse mal, les muetz ne parleront gueires, les riches se porteront ung peu mieulx que les pouvres, et les sains mieulx que les malades.
Histoire du Calendrier : Francesco Maiello.
Pour ceste annee […] les coissins se trouveront ou pied du lict ; les couilles pendront à plusieurs par faulte de gibesiere ; ke ventre ira devant ; le cul se assoyera le premier.
Histoire du Calendrier : Francesco Maiello.
La liberté est une valeur partagée par (presque ?) tout le monde. Qui en effet serait contre la liberté ?
La majorité convient aussi que cette liberté a des limites. Je voudrais énoncer ici des considérations qui montrent l’un des équilibres qui empêchent le « tout liberté ».
La liberté c’est l’absence de liens. Justement, les mots ne sont pas anodins. Et les liens on en tisse beaucoup. Famille, amis, relations, associations, etc. Tous ces liens sont vus plutôt positivement. Il est certain qu’un être humain ne « vit pas tout seul » : il a besoin de liens sociaux. Bref, par nature, l’être humain ne saurait être totalement libre.
Face à l’angoisse irrationnelle que je constate parfois, j’ai tendance à dire « Vivre, c’est prendre le risque de mourir ». L’une de mes connaissances l’énonce autrement « La vie est une maladie mortelle sexuellement transmissible ». C’est plus rigolo.
Plutôt que la vérité, le public veut des histoires.
Un discours n’a pas à être véridique et précis, il faut qu’il soit beau et émouvant. Bref, on préfère l’illusion au réel. On veut être trompé.
De là viennent les difficultés du monde.
Remarque : je ne m’exclus pas du lot des « gogos ».