Je vais m’arrêter là pour l’analyse du documentaire. 
En pratique, mes enfants ne croient plus du tout en l’idée du « non voyage sur la Lune ». Ils ont appris aussi un peu de « scepticisme » par rapport à ce qui est « publié ».
Il apparaît que le facteur clé pour désamorcer de tels « bobards » est le temps. Il faut prendre le temps de visionner étape par étape. Il faut aussi de la méthode (et/ou de la rigueur) : noter les arguments, les analyser froidement. Bref il faut décomposer ce qui a soigneusement été « composé ». 
Avoir ce temps n’est pas toujours possible. 
Ce travail de « décomposition » est possible sur n’importe quoi (sur des oeuvres artistiques, des documentations commerciales, des contrats,…). Il n’est pas certain qu’il soit toujours à faire : parfois, on préfèrera l’illusion à la « réalité ».

Sur le documentaire proprement dit, on pourrait poursuivre l’examen. Par exemple il s’agirait de considérer sa construction, son rythme, son plan, … On entre dans le domaine de « l’expression » (audiovisuelle). La clé de recherche serait de comprendre comment cette construction engendre l’illusion et fait croire « en première lecture » que la thèse 2 est crédible. Cela dépasse mes compétences.

Concernant les « documents (photos, films,) » du voyage sur la Lune, il m’apparaît tout à fait possible qu’une partie soit des faux. La NASA a pu prendre de « fausses » photos dans un désert terrestre, ne serait-ce qu’à titre de « back-up ». Imaginez que toutes les photos« lunaires » aient été voilées : cela aurait été un peu ridicule ! Pour un projet de plusieurs milliards de dollars (ce que je ne suis pas prêt de diriger), je pense que je l’aurais fait. Que ces fausses photos aient été diffusées parmi des « vrais » est une autre question. Pour amorcer la réponse, il faudrait au moins connaître l’ampleur des publications de la NASA « lunaires » sur les missions Appolo. Pour Appolo 11 par exemple, combien-t-il de photos en tout ?