Une fois n’est pas coutume, je vais me baser sur les madits. Il s’agit de la question de la transition « zone-cache » (je n’ai pas encore la zone).
http://www.zarquos.net/synthese_supersolution.php
Il semble que l’on ait la zone à l’issue de 520. Elle est localisable sur la 1ère carte. C’est à dire à l’échelle 1/1 000 000. Un point (1 mm de coté) fait 1 km sur le terrain. La zone est réputée être de la grandeur d’une ville de taille moyenne. Donc on est en ordre de grandeur « kilométrique » (1 à 3 km). Sur la carte de France, c’est un point ou un gros pâté (3mm). Je laisse de coté la façon dont cette zone s’obtient. Je remarque que le « gros pâté » est aussi une notion qui permet de compenser les écarts ou imprécisions dus à la carte de France (un point obtenu comporte une imprécision intrinsèque à la « problématique cartographique »).
Bref, on a affaire à un zone de quelques kilomètres de « rayon ». Sur une carte au 1/25 000 c’est de l’ordre de la dizaine de cm.
On va supposer que la contremarque est bien enterrée quelque part en France dans le « domaine public » où le fait de creuser est toléré. Si l’on ajoute les madits (ceux sur les conditions de l’enfouissement par exemple) et si l’on tient compte de la nécessaire discrétion, il semble probable que la cache (et donc une partie de la zone) soit isolée avec très peu d’habitation à des centaines de mètres.
Il parait de plus qu’il n’y a pas de construction humaine (ni de cours d’eau) à moins de 50 m de la cache.
C’est la 12ème énigme et elle seule qui permet la localisation. Celle-ci se traduit par une phrase du genre « creuser à ... » qui se complète en moins de 10 mots.
Tout ceci impose l’utilisation de points de repères de deux sortes. Les points de repères artificiels (constructions humaines – chateau d’eau, église, pont, route, croisement, borne, monument,...) qui sont « éloignés » et qui peuvent donner des axes ou des approches (axe de visée ou cheminement) et le ou les points de repère naturels pérennes (rocher, menhir, dolmen, trou) qui sont à proximité de la cache.
Les seconds sont nécessaires car il est impossible de localiser avec un point de repère éloigné de plus de 50 m.
Les premiers sont nécessaires car les repères naturels sont trop vagues et interchangeables (à moins d’être seul de son genre dans la zone) : il faut donc les préciser.
La zone étant isolée, elle a probablement peu de point de repère artificiel – ils ont des chances d’être mentionnés sur la seconde carte. Les points de repère naturels ont peu de chance de l’être.
La « phrase-solution » de la douzième énigme doit donc comporter des mots du genre : pont, église, château d’eau, route, croisement, borne, monument (et mots équivalents - calvaire), menhir, dolmen, rocher, trou + éventuellement une distance (celle-ci est alors naturellement un nombre de mesures) + une orientation (axe, alignement, droite, gauche, un point cardinal est improbable).
Etant donné le caractère arbitraire de la douzième énigme d’une part et le fait qu’elle soit prétendument facile, alors ces mots dérivent directement des reliquats. Donc les reliquats sont des équivalents de ces mots.
On peut songer au croisement de 780. Voilà un point de repère.
Evidemment la « phrase-solution » comporte des « petits mots » (article préposition) qu’il faut ajouter.
Extraction – Assemblage – décryptage
On a là l’astuce d’extraction. L’assemble semble se fait grosso modo dans l’ordre de la B. Le décryptage consiste à rajouter les mots de liaison et de trouver le « bon mot » dans le contexte de la zone.