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17 octobre 2007 3 17 /10 /octobre /2007 08:44

http://www.cnrs.fr/chimie/communication/images/images-chimietous/minidossiers/Couronne_et_vent_solaires.pdf

 

Le vent solaire émettrait 1E-14 de la masse solaire par an

Le soleil fait environ 2 E+30 kg.

Ce vent représente donc 2 E+16kg/an. Une paille ! (600 milles tonnes par seconde)

 

Au niveau de la Terre, la surface apparente est (en fraction) de 4,5E-10 (calcul déjà effectué pour l’énergie).

La Terre reçoit donc 9 E+6 kg par an par le vent solaire : soit 9 000 tonnes.

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16 octobre 2007 2 16 /10 /octobre /2007 09:51

J’ai effectué un calcul qui permet de comparer les coûts (en France) des différentes sources d’énergie (pour le consommateur). Il est temps de commenter ces résultats.

 

 

Bois 0,7 c/ MJ

Charbon 1,7 c/MJ

 

Fuel 1,8 c/MJ

 

Gaz en réseau 2 c/MJ

 

Gaz en citerne 2,3c/MJ

 

GPL 2,6 c /MJ

 

Electricité 2,9 c/MJ

 

Riz ou blé 2,9 c/MJ

 

Essence 3,5c/MJ

 

Gaz en bouteille 4c/MJ

 

Alcool à brûler 4,4 c/MJ

 

Charbon de bois 5,1c/MJ

 

 

Rappel d’un calcul précédent : la consommation humaine d’énergie par an est environ Eh = 4,70 E+20 J soit 4,7 E+14MJ

Le prix moyen (en France) de l’énergie est d’environ 2,5 c/MJ

Le chiffre d’affaire du secteur énergétique mondiale si on le suppose au « prix français » est donc de 12 000 Milliard d’euros,

 

Selon http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89conomie_mondiale, le PIB mondial serait d’environ 50 000 milliards de dollars.

Ces chiffres sont cohérents. Le secteur de l’énergie pèse entre le quart et le tiers de l’économie. Quels sont les autres secteurs ? (je pense à l’agriculture, aux matières premières, aux industries, au services financiers, aux assurances, à l’éducation, aux services de sécurité,…). Il y a une intersection non vide entre les chiffres d’affaires de ces secteurs.

 

L’avantage est à « l’énergie bois ». Cela doit être relativisé. Premièrement, le bois est une source d’énergie malcommode si on l’utilise de façon brute (volume, pois, allumage, encrassement,…). On peut transformer le bois en produit plus pratique (bûchettes, pseudo fluides), mais cela augmente le prix. Ensuite le prix calculé est largement variable. Si une part importante de la population se « mettait au bois », la ressource étant limité (la révolution industrielle ne s’est pas faite au charbon pour rien), il y aurait une tension à la hausse sur les prix. On peut aussi considérer que le bois est un produit trop noble pour être brûlé. Quite à brûler de la biomasse, il vaudrait mieux le faire à partir d’un végétale annuel comme de la paille.

 

Le prix du charbon est proche de celui du fuel. Le surcoût peut se comprendre par la facilité d’utilisation du fuel.

 

Le prix du gaz en réseau est intéressant. Mais il reste supérieur à celui du fuel. Il est donc fallacieux de considérer le gaz comme « bon marché ». Cette position indique que l’utilisation du gaz de réseau comme source d’énergie d’un véhicule est une piste. Il existe déjà des bus « au gaz ». Techniquement, il faut compresser ce gaz. Cela présente des risques. Le moteur thermique est déjà opérationnel. Evidemment, si tout le monde « passait au gaz », le prix monterait et l’avantage tomberait.

 

Lorsque l’on évoque les voitures électriques, ce comparatif est intéressant. Il consiste en effet à remplacer de l’essence à 3,5c/MJ par de l’électricité à 2,6 c/MJ. Il y a une économie. Mais elle n’est pas si importante que cela (26%).  Il suffit que d’autres paramètres changent pour que « l’avantage à l’électricité » soit rogné.

Il faut d’abord tenir compte de l’efficacité énergétique de la solution. L’efficacité du moteur thermique est d’environ 30%. En face, un voiture « électrique » (j’inclus celle fonctionnant à l’air comprimé) comporte deux étapes : une étape de stockage de l’énergie (elle est médiocre dans le cas de chargement de batterie), et une étape « motrice » dont le rendement reste < 100% (80% pour un moteur électrique, combien pour la restitution de la batterie ?). Au final c’est le produit des deux rendements qui compte. Il est extrêmement difficile de mener un calcul de coin de tableau sur cela car il faudrait faire du « cas par cas » (moteur par moteur) : les chiffres de rendement sont très aléatoires (cf références). On peut estimer que les efficacités globales sont sensiblement les mêmes.

Un autre aspect des choses est la présence des taxes. Pour l’essence la TIPP pèse lourdement. Si on l’enlève, on se retrouve au niveau du prix du fuel soit 1 ,8 c/MJ. L’avantage disparaît. Ce constat n’est pas anodin. Si le parc automobile passait à « l’électricité », il faudrait bien que l’Etat remplace le manque à gagner sur la TIPP : on peut imaginer une taxe sur l’électricité utilisée à des fins de transport : c'est-à-dire que le prix de l’électricité ne serait plus de 2,6c/MJ mais plus élevé (peut être supérieur à 3,5 c/MJ).

Enfin, le prix calculer pour l’électricité (2,6c/MJ) utilise le « plein tarif ». Il est sensiblement plus faible si l’on « charge sa voiture » la nuit.

 

 

Chiffres :

 

Pas facile de trouver des informations sur les rendements des chargeurs de batterie. http://www.oee.nrcan.gc.ca/industriel/equipement/chargeurs/index.cfm?attr=24. On trouve de 75 à 90 % pour des chargeurs industriels.

 

Pas facile non plus de connaître le rendement d’un moteur électrique.

 

Rendement du moteur électrique : 95% selon un site qui fait la promotion des voitures électriques.

 

http://www.planete-sciences.org/enviro/rnste6/ateliers/deplacement/vehicules_elec.htm

 

Sur http://www.techboat.com/lesdossiers/poussee.aspx?page=Propulsion%20Electrique le rendement évoqué est de 70 à 80 %.

 

Quant au rendement de décharge d’une batterie : ??

 

 

Le prix de l’alcool à brûler pose question. Si ce prix reflète un prix de revient alors, les biocarburants comportant de l’éthanol ne sont pas rentables. On touche là au problème de la formation des prix. Il n’existe pas encore de circuit de distribution de l’éthanol comme carburant de masse. Dans ces conditions, on a un prix de « détail » qui ne reflète pas le prix de revient.

 

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15 octobre 2007 1 15 /10 /octobre /2007 08:59

Sur http://www.etudes-litteraires.com/fonctions-du-langage.php, j’ai trouvé une liste des fonctions du langage. C’est ce qui est partiellement enseigné au collège en classe de français (4ème). Je ne se saurais dire si c’est le bon moment pour enseigner cela.

Les fonctions sont les suivantes :

 

Référentielle

Expressive

Conative

Métaliguistique

Phatique

Poétique

 

Mes interrogations sur la vérité des assertions portent « évidemment » sur la fonction référentielle du langage. Contrairement à ce qui est indiqué dans le texte en référence, cela ne me semble pas être la fonction primordiale.

Il se trouve que pour un texte « anonyme » comme ce blog par exemple, c’est certainement cette fonction qui est principale (vous ne me connaissez pas, je ne vous connais pas, les fonctions expressives et conatives ont peu de raison d’être).

 

La fonction expressive me semble être la plus fréquente dans les cas courants. On « parle » à propos de soi. « On enseigne plus ce que l’on est que ce que l’on sait. L’exposé « référentiel » n’est qu’un masque. C’est d’ailleurs pour cela que l’analyse logique du langage est difficile. Car elle est inopérante sur un exposé « expressif ». Une expression ne saurait être vrai ou fausse. La question qui se pose alors est celle de son authenticité. Nous sortons du cadre logique

 

La fonction conative est aussi très importante. On parle rarement pour rien. On veut faire réagir les autres. Pour ce faire, on va « s’arranger avec la vérité ». Publicité et politique sont essentiellement conatifs. Publicité et politique sont presque partout.

 

La fonction métalinguisitique me semble assez restreinte. Du point de vue logique, elle est la source de construction de paradoxes analogue à celui de la démonstration du théorème de Goedel.

 

La fonction phatique a un caractère technique. Elle n’est praticable quasiment qu’à l’oral (quant émetteur et récepteur sont présents simultanément). Logiquement, elle est neutre, transparente, hors sujet.

 

La fonction poétique est celle que je trouve la plus problématique du point de vue logique. En théorie, elle est hors sujet.

 

Ceci est un des explications de la « faillite » de l’approche logique des énoncés. En effet, les énoncés mélange fréquemment ces fonctions. Pour procéder à une analyse logique, il est nécessaire de réduire l’énoncé à sa composante « référentielle ». Cette réduction est généralement loin d’être facile et surtout elle n’est pas nécessairement déterministe.

 

Autre référence :

http://users.skynet.be/fralica/refer/theorie/annex/linguistque/ling01.htm

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12 octobre 2007 5 12 /10 /octobre /2007 08:54

Je navigue sur internet…Il y a du bon et du moins bon. Plus exactement, il y a des pages que je trouve « chouette » et d’autre moins. J’aimerai le faire savoir.

 

De là me vient l’idée d’un système de « recommandation ».

Lorsqu’un internaute est sur une page qui lui plait, d’un simple clic (sur une icône du navigateur par exemple) il recommande cette page.

Ceci génère un flux de recommandation enregistré par le serveur.

Des organismes de suivi d’audience récupèrent ces flux de recommandation. Ils les agrégent en fonction de leurs centres d’intérêt et les publie.

 

Il me semble nécessaire que ces flux de recommandation puissent être utilisés par plusieurs organismes. Par contre, il est nécessaire que ces flux soient normalisés.

Il me semble aussi nécessaire que ces recommandations soient « universelles » et non localisés. Par exemple actuellement, lorsque sur le site « du monde » je recommande un article, c’est une affaire « locale » valable uniquement sur le site du monde.

Il est aussi nécessaire que la recommandation se fasse simplement.

 

Voilà une idée en l’air offert à qui veut s’en saisir.

 

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11 octobre 2007 4 11 /10 /octobre /2007 10:58

Si en 780 on a affaire au rugby. Cela pourrait être le tournoi des 5 nations.

 

La France a été ré-admise en 1947.

En 530, il y a le coq qui est l’emblème de l’équipe France.

 

Rosse : Rose (angleterre) ou Chardon (écosse),

Cocher : trèfle (Irlande) (=la croix)

Boussole : rose (angleterre)

Pied : trèfle (Irlande) (=la chance = le pied)

 

Je ne parviens pas à placer les 3 plumes d’autruche (pays de galles).

Le solution de 780 serait : « le rugby ». (En France, c’est le Sud de la France qui joue principalement au rugby).

A noter qu’au rugby, il y a un demi d’ouverture.

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10 octobre 2007 3 10 /10 /octobre /2007 08:40

Mes articles tournent autour de la notion de vérité. Il est temps d’exprimer ma croyance en la matière. 

 

Je suis persuadé que très majoritairement (presque toujours), nous émettons des assertions qui sont au mieux « à peu près exactes ». L’un des groupes d’exceptions provient des assertions mathématiques : en math on peut dire du « vrai de vrai » dans la mesure ou la vérité de l’assertion dépend des hypothèses (des axiomes, c’est un vrai de vrai sous condition). On remarquera d’ailleurs que la conclusion d’une démonstration est « fatalement » moins puissante que les hypothèses. 

 

Donc, nous « faisons avec » des phrases à peu près vraies. Il y a 2 considérations qui amènent à considérer que cela est dramatique. La première est la logique la seconde c’est le chaos. 

 

En logique mathématique pure une assertion à peu près exacte est complètement fausse. Ainsi, il suffit d’une seule exception pour qu’une phrase en « quelquesoit » soit fausse. Cela est loin d’être anecdotique. Lorsque l’on construit une démonstration, ce genre d’à peu près est catastrophique. Il s’agit de la logique mathématique pure. Celle-ci est la formalisation de la logique rhétorique. Ce n’est donc pas un problème interne aux mathématiques ». C’est vraiment, la capacité à mener des raisonnements « courants » sensés (utiles) qui est en cause. 

 

Si la description d’un état (initial) d’un système dynamique chaotique n’est qu’approximativement le reflet de la « réalité » (la carte n’est pas territoire), le calcul de son état futur diverge de ce qui se passe « en réalité ». La divergence peut être assez rapide. Elle peut être complète : le système part dans la direction opposée à ce qui a été calculé (cela se refroidit alors que l’on croyait que cela se réchaufferait par exemple). Les systèmes chaotiques sont très répandus. Sans doute la réalité est elle surtout chaotique. D’ailleurs, c’est un émerveillement de constater qu’il existe des cas de systèmes linéaires (prédictibles) qui ont permis le développement de la connaissance scientifique.

 

Ces constats rendent bien pessimistes sur notre capacité à « dire le vrai ». Pourtant, si l’on ne veut pas être en plein arbitraire, en plein caprice, il semble nécessaire de pouvoir se raccorder à une notion de « presque vrai » ou de « raisonnablement vrai ». Ceci implique de décrire la logique permettant d’exploiter utilement ce « presque vrai ». Cela va au-delà de la logique floue. 

 

Dit autrement, je prétends que la logique mathématique classique et sa table de vérité constituent une impasse. Il est temps de doter les sciences d’une logique de « l’à peu près » (notamment non aristotélicienne).

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9 octobre 2007 2 09 /10 /octobre /2007 08:42

J’ai déjà indiqué que le pouvoir d’un « média » résidait premièrement dans le choix des sujets dont il parle. Je ne sais pas qui a dit « parlez de moi, même en mal, mais parlez de moi ».  Cela me semble pertinent. En effet, il est possible de « démolir » un thème, une personne, une organisation. Mais en braquant les projecteurs sur cela, on augmente son « audience ». Et l’on risque l’effet boomerang (pour différentes raisons, qui vont de l’esprit rebelle, à l’analyse critique en passant par la défense du plus faible ou à l’intérêt partisan) qui entraîne une « sympathie » pour ce que l’on voulait démolir. Si jamais le sujet n’est pas sur la place publique et que l’on veut s’y opposer, le mieux c’est de ne pas en parler. 

 

Dans la mesure de mes modestes moyens et sauf erreur de ma part, je suis cette ligne de conduite. Je parle de ce que j’apprécie (sans oublier la critique) et j’omets ce qui me déplait. En effet, pourquoi se torturer à passer du temps sur un thème déplaisant ? Ceci ne veut pas dire que tout ce qui n’est pas mentionné ici me déplait. En effet, les thèmes qui m’intéressent sont très vaste et je ne dispose que de 24 h par jour.  

 

Je constate que certains médias pratiques « l’encensoir ». Le prototype se situe par exemple dans les émissions de variété de Michel Drucker. On peut considérer que c’est cette approche positive qui est pratiquée. En pratique, il est probable que des considérations « marketing » entre en ligne de compte et que les louanges pratiquées ne sont pas authentiques.

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8 octobre 2007 1 08 /10 /octobre /2007 09:04

Comme tout enfant, j’ai grandi en gobant des préjugés dans mon entourage. Et puis à un moment donné, on m’a dit « les préjugés c’est mal ». Alors je me suis mis à les chasser. J’ai même cru que j’étais devenu un « sans préjugé ».  Ben voyons !

Le fait est que vivre sans préjugé est impossible. Ils sont sans doute aussi indispensables à la vie intellectuelle de l’être humain que l’oxygène à la vie physique. Comme l’oxygène, il faut sans doute respirer autre chose que des préjugés.

 

Revenons au sens du concept. Un préjugé c’est une assertion tenue pour vraie sans avoir été vérifiée. Un préjugé prend d’autant plus de « puissance » que l’assertion à une portée générale « toutes les blondes sont… ».

Il est évidemment impossible de vérifier toute assertion à laquelle on fait appel dans notre « vie intellectuelle ». En fait, une assertion de portée générale ne peut pas se vérifier, cela reste toujours un pari (plausible ou non mais un pari).

 

Examinons l’assertion « le père noël existe et distribue des cadeaux le soir de noël ».  Elle n’est généralement pas exprimée ainsi car ce serait un mensonge fort. Toutefois, le discours des adultes au moment de noël envers le petit enfant tend à produire cette croyance. Et le petit enfant « gobe ». D’ailleurs, il peut vraiment constater l’arrivée des cadeaux. Voilà un préjugé bien ancré. Il n’est pas étonnant que les enfants y croient fur comme fer. La façon dont ils sortent de cette ornière mériterait une étude psychologique de masse. On peut voir l’intérêt de cette supercherie comme une première expérience pour s’affranchir d’un préjugé. 

 

J’ai dit que l’enfant « gobe » les préjugés. En effet, c’est une tendance forte de l’enseignement ou de l’éducation. Faire passer de façon « absolue » des assertions. L’enseignement (qu’il soit scolaire ou non ce n’est pas la question) se préoccupe peu et assez tardivement de l’aspect vérification. Peut être que certains échecs scolaires sont dus au caractère rétif de l’enfant et à son refus de gober sans preuve.

 

L’enseignement polarise beaucoup la valeur des énoncés. Il sera tour à tour question de vrai/faux, juste/erroné, bon/mauvais, gentil/méchant… Je ne suis pas assez au fait de la science de l’enseignement ou de la psychologie pour savoir si cela est indispensable. Toujours est-il que cela se fait au détriment de la nuance. Cette polarisation est une fabrique à préjugés. La nuance travaille dans un sens opposé : elle relativise les « vérités », elle introduit de la complexité.

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5 octobre 2007 5 05 /10 /octobre /2007 08:37

Une réflexion sur la vérité amène immanquablement à aborder la question des préjugés. Je vais illustrer cela par mes recherches sur la chasse au trésor de la chouette.

 

Il existe une énigme (la 470) qui se traduit par une charade. Depuis environ 15 ans la solution reconnue de cette charade est « A RONCEVAUX » (10 lettres et 1 espace). Cette solution « tient la route ». Toutefois, le fait de considérer que c’est « la » solution qui permettra de trouver la chouette constitue un préjugé. Seule la connaissance finale des réponse permettra de trancher.

 

En attendant, comme tout préjugé, il est extrêmement difficile à remettre en cause. C’est vrai parmi les autres chercheurs (voir les réactions assez hostiles qui apparaissent) mais même pour moi. Il se trouve que je me suis forcé à revoir cela. Il faut s’astreindre à une discipline. Je ne prétends pas avoir pu mener une recherche dans toutes les directions, j’ai cherché si les questions pouvaient donner d’autres lettres ou d’autres caractères. C’est à dire que je n’ai pas remis en cause le principe de construction lettre à lettre (ce principe est inhabituel pour une charade : elle procède généralement syllabe par syllabe). Il se trouve que cette recherche a abouti. Il est effectivement possible de trouver d’autres lettres. Et au final, il est possible de construire un autre « tout ». Le plus remarquable est « O PERCEVAL ? ».

 

Je ne saurais dire si j’ai pu faire le tour de mon axe de recherche, ni si les « tout » alternatifs sont les solutions.

 

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4 octobre 2007 4 04 /10 /octobre /2007 08:55

Le thème « BD » est riche de possibilité  

On va supposer ici que cocher = PILOTE, le magazine de BD.  

En 530 , la France, + le coq gaulois + le devin  => Astérix ? Le tour de Gaule d’Astérix ? Problème : il ne passe pas par Bourges !  

La rosse, ce pourrait être Lefuneste et le pied = Achille Talon.  Dans ce cas, boussole et pied ferait référence à un album d’Achille Talon qui n’est pas passé par PILOTE.  

Plus tard, lorsqu’il faudra se hâter, pourquoi pas lucky luke ?  

L’inconvénient de PILOTE, c’est que c’est vaste. L’année 1974 ? (apparition du journal de lucky luke). 

Le journal Pilote du 1er novembre 1974 publiait dans sa rubrique Au dessus de la mêlée le dessin de trois anges parodiant les singes de la sagesse. Le premier a les main déployées au niveau des oreilles comme pour mieux entendre, mais il se bouche les conduits auditifs avec les pouces….  

Le numéro 47 : 15/09/1960 « le demi d’ouverture : la tête et les jambes ». Les phares (Armen). L’univers féérique des animaux lumineux. L’énigme de l’oiseau blanc. 

Le numéro 74 : 23/03/1961. RAS.  

Toujours dans l’optique d’une opposition, si l’on ne doit pas suivre la « rosse et le cocher », on doit soit suivre un magazine « concurrent » de PILOTE. Lequel : Mickey, Pif gadget , le journal de Spirou,… ?  

D’une part tout cela est assez « pointu » (je ne l’aurais jamais trouvé sans internet) et d’autres part, il n’y a pas de quoi faire une solution.

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