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15 octobre 2009 4 15 /10 /octobre /2009 11:22

Il me semble que la démarche pour « progresser dans la connaissance des lois de la nature » passe par des étapes :

-          La définition de concept à constater sur le « réel ». Ce sont des « grandeurs » Xi.

-          L’explication de pourquoi les grandeurs prennent les valeurs mesurées. En général il y une explication causale, on explique les Xi(t+1) avec les Xi(t) et des « lois ».

-          La prévision des valeurs futures des Xi. Si l’étape précédente est bien assurée, elle va de soi. C’est la première « épreuve du réel ». En effet, si la prévision est systématique fausse, c’est que les lois sont fausses (ou incomplètes).

-          La maîtrise. C’est l’expérience, la maitrise d’ingéniérie. C'est-à-dire que l’on peut construire des dispositifs permettant de fixer les valeurs Xi(t) de « commande » afin d’obtenir les valeurs Xi(t+1) souhaités. Lorsqu’on en est là c’est que la connaissance devient « opérationnelle ».

 

 

Par rapport à cette liste, il faut ajouter quelques considérations.

Tout d’abord l’importance de la mesure. La définition des grandeurs Xi ne peut pas rester littéraire. Il faut mesurer les valeurs (au moins qualitativement, mais plutôt quantitativement). Le problème de la mesure est une technique d’ingéniérie en soi. Elle suppose déjà une connaissance partielle du « monde à étudier ».

 

Tout ce processus suppose une « répétabilité ». C’est à dire des observations passées et des cas futurs du « phénomène ». On ne peut pas l’appliquer à un événement unique. Cela rejoint l’aphorisme « il n’y a de science que du général ».

 

Pris tel quel, la démarche isole « un bout de réel ». En pratique, les domaines de connaissance du réel se mélangent, s’interpénètrent. Il faut alors tenir compte de ceux pour lesquels la connaissance est bien avancée (« opérationnelle ») de ceux pour lesquels elle n’est qu’embryonnaire.

 

La démarche se présente de façon linéaire, comme une suite de phase. C’est un modèle idéalisé. En pratique, o procède par boucles de « progrès » (essais, erreurs, ajustements).

 

J’ai présenté les lois sous une dimension temporelle comme « causales ». C’est habituel et plus « clair ». Mais ce n’est pas obligatoire. La loi peut être une contrainte « permanente » entre les Xi. De plus, dans une vision systémique, causes et effets deviennent interchangeables.

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14 octobre 2009 3 14 /10 /octobre /2009 15:06

Il est encore question de musique

2 et 4 font penser aux blanches et aux rondes.

2424-42-424-44-224-24-42-24 donnent en nombres de « temps » : 12-6-10-8-8-6-6-6. Au total 62 temps (pas divisible par 4). Une approche « simple » de mesure musical ne parait pas marcher.

 

2 et 4 en 580 c’était Cherbourg et Epernay soit C et E soit do et mi. On a un air de musique : do mi do mi… Avec 2 notes cela ne donne rien. Qui plus est le même code pour la note et le rythme ne convient pas.

 

On peut chercher à utiliser 560606 c’est Forbach (fa), Gérardmer (sol) Angers (la). Cela ne fait que 6 notes. Alors que 2424 en rythme 20. On ne peut pas avoir une répétition (6 ne divise pas 20).

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12 octobre 2009 1 12 /10 /octobre /2009 15:05

Ut queant laxis fournit un lien net avec 580 (le codage des notes de musique). D’autre part 580 donne « X vaudra y » et ici on a besoin de la mesure.  Il parait fort possible que ceci soit l’indice de cela est que la mesure soit définie en 580. Il reste à savoir comment (ce qui correspond aux madits).

 

560.606 c’est Forbach Gérardmer Angers. C’est un triangle presque rectangle.

On aurait donc une technique naturelle de mesure. Il s’agit d’emprunter l’orthogonal, c’est à dire d’effectuer une translation de ce triangle.

Il reste à déterminer 2424 (Carignan ?), à choisir ou ajuster l’orthogonal (lequel des 3 points) : il est probable qu’il s’agisse de Gérardmer, de trancher si l’on peut faire une rotation (probablement non) et de décider ce qu’est la spirale à centre ? (l’un des quatre points du rectangle, ou à dessiner avec ce rectangle).

A noter que la translation de l’équerre tombe dans le golfe de St Malo. Cela pourrait être en rapport avec une épave (le HMS Victory ?). Quel rapport avec une SAQC ?

En complément, le triangle est donné par 560. Faut-il faire quelque chose de 606 ?

 

 

Enfin, on remarque que la technique ne pourra pas être strictement la même en 420.

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11 octobre 2009 7 11 /10 /octobre /2009 11:19

La sensiblerie pour les animaux affichés ici ou là m’énervent. En y réfléchissant ce n’est pas exactement la sensiblerie qui me gêne, c’est son domaine d’application.

 

On va tour à tour s’émouvoir pour les ours polaires dont la banquise se rétrécit (ce qui n’est certainement pas la cause des problèmes des ours polaires), sur les pauvres baleines…

 

On remarquera qu’il s’agit toujours de « gros animaux » et presque toujours de mammifères. Bref c’est très anthropomorphique.  De plus, c’est toujours une question d’animaux sauvages. C’est un peu oublier que la vie des animaux sauvages n’est pas « garantie ».

A coté de cela, personne ne s’émeut du sort des millions d’animaux d’élevage. Quantitativement, c’est sans doute plus important. En terme de responsabilité, il est clair qu’elle est pleine et entière pour l’Humanité. Je n’ai jamais vu, mais j’ai entendu parlé d’élevages intensifs (porc et volaille surtout) qui sont indignes. Pire, ces univers concentrationnaires sont causes de bien de soucis. On a une viande de médiocre qualité du fait du stress des animaux. On doit faire appel à une surabondance d’antibiotique pour prévenir le développement de maladie. Ceci est néfaste pour la qualité de la viande et l’usage intensif d’antibiotique nuit à leur efficacité. En cas d’épizootie, le cheptel à abattre est très important.

Il me semble qu’il serait raisonnable de fixer des limites mondiales sur ces élevages. Ce serait une limite du nombre d’animaux par « unité d’élevage » et d’une surface disponible minimale par animal.

On pourrait aussi examiner les conditions d’abattage.

Bref, tout cela revient à assumer notre coté « carnivore ». Ce serait bien de le faire au moins aussi bien que les humains qui ont peint Lascaux.

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10 octobre 2009 6 10 /10 /octobre /2009 15:00

On peut remarquer que « trouver quatre centres » c’est trouver la base d’un pavage du plan et donc un « référentiel ».

 

L’ennui c’est que selon le texte on trouve la SAQC après avoir exploité les 560606 mesures. L’idée que ce pavage sert à la mesure ne tient pas. Ce n’est pas une question de timing, c’est une question d’objectif. En effet si la SAQC donne un pavage qui fonctionne « normalement », que trouverait-on à 560606 mesures  (ou 0,56) ? Ce serait autre chose qui ne serait pas la SAQC.

A moins que suite à une série de spires, on tombe sur un point de spirale.

 

Etant donné la construction de la spirale, la seule façon où 560606 serait sur la spirale c’est au bout de (560606 -2)/4 = 140151,5 tours (et il y demeure une infime approximation). De plus, cela n’éclaire pas précisément l’unité.

 

Supposons inversement que 560606 mesures, ce soit 560606 « tours ». On se retrouve précisément sur ce pavage à 4 * 560606= 2242424 unités (dont un décodage en morse donne METR). Ceci donnerait donc un point sur la spirale à 1000 km au bout de 560606 spires. Ceci donne une unité de pavage de 1000000/2242424 = 0,446 m. La spirale est à « tracer virtuellement ». Elle n’est pas à trouver. Elle fournit l’unité de mesure.

 

On peut tenter une autre approche de ce constat en terme de « méthode ». Lorsque l’on dit « x mesure », il faut prendre « X spires ». Si X est décimal, on change l’angle. Le module est en gros multiplié par 4, le résultat obtenu serait à ajuster au contexte.

Le problème est que c’est METR et non METRE !

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9 octobre 2009 5 09 /10 /octobre /2009 16:49

J’admire les gens qui font ce genre de recherche.

 

http://www.roumazeilles.net/news/nw/news0051.php

 

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8 octobre 2009 4 08 /10 /octobre /2009 15:04

Idée de prendre les premières syllabes (ou lettre) des mots ?

 

A 2424-42-424-44-224-24-42-24, emprunte l'orthogonale.

Pour trouver la Spirale à quatre centres,

560.606 mesures, c'est loin.

Mais par le Méga, c'est un million de fois moins.

 

2424-42-424-44-224-24-42-24

560606

 

2424-42-424-44-224-24-42-24.

Deux mille vingt quatre quarante deux quatre cent vignt quatre quarante quatre deux cent vignt quatre vingt quatre quarante deux vignt quatre

Deu mil vin qua qua deu qua cen vin qua qua qua deux cen vin qua vin qua qua deux vin qua

DMVQQDQCVQQQDCVQVQQDVQ

 

Vingt quatre vingt quarante deux quatre vingt quatre qurante quatre deux vaingt quatre nvigt quatre quarante deuc vignt quatre

Vin qua vin qua deu qua vin qua qua qua deu vin qua vin qua qua deu vin qua

VQVQDQVQQQDVQVQQDVQ

 

Deux quatre deux quatre quatre deux quatre deux quatre quatre quatre deux deux quatre quatre deux deux quatre

 

560606

CINQ CENT SOIXANTE MILLE SIX CENT SIX

CIN CEN SOI MIL SIX CEN SIX

CCSMSCS

 

Avec les lignes

A POU 5 Mai

APCM

 

Avec les « phrases »

A EN POU CINQ CEST MAIS CEST

AE PCCMC

 

Avec les mots

A CA EN LOR POU TROU LA SPI A QUA CENT CINQ ME CEST LOIN MAIS PAR LE ME CEST UN MIL De FOI Moin.

ACELPTLSAQCCMCLMPLMCUMDFM.

 

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7 octobre 2009 3 07 /10 /octobre /2009 15:03

http://zoechouette.free.fr/500/500Resolution.html

Il y a l’anagramme de Ut Queant Laxis = Tu as l’axe quint. OK avec 13 lettres. Ceci renverrait au pays quint.  Il est vrai que ce genre de situation « anormale » entrerait bien dans le cadre de la chasse. http://fr.wikipedia.org/wiki/Particularit%C3%A9s_territoriales_de_la_France. C’est toujours plaisant de voir ces exceptions.

Toutefois, « tu as l’axe quint » et pays quint sont difficile à rapprocher, même en ayant déjà Roncevaux.

 

L’IS sur Marie Thérèse fait référence à l’île des faisans sur la Bidassoa et au traité des Pyrénées.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Trait%C3%A9_des_Pyr%C3%A9n%C3%A9es

Il faut une certaine expertise pour trouver le lien avec le traité de Bayonne qui lui « succède ».

http://fr.wikipedia.org/wiki/Trait%C3%A9_de_Bayonne_(1856)

 

De plus « ut Queant laxis » n’est pas un paramètre totalement libre. Max aurait remarqué l’anagramme et songé à cette exploitation ?

 

L‘enjeu de cela est la validation d’un lien 470 – 500 qui valide l’axe Roncevaux Bourges Carignan et qui justifie son utilisation en 500. Sans ce lien, il n’y a que la situation de Carignan dans le Luxembourg sous Louis XIV (et donc la détermination d’une solution de 470) pour justifier sont utilisation.

http://chay08.free.fr/publications/numero1.pdf

Le blason de Carignan a effectivement un cœur. Cela signifierait que la compréhension du cœur de 470 ne se comprend qu’ici. Mais ce blason n’aurait été accordé que le 10 juillet 1824 : encore un saut chronologique dans 470 !

 

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6 octobre 2009 2 06 /10 /octobre /2009 15:02

Hymne à Saint jean baptiste (Guido d’Arezzo)

UT queant laxis

REsonare fibris

MIra gestrum

FAmuli tuorum

SOLve polluto

LAbii reatum

Sancte

Iohannes

« Pour que tes serviteurs puissent faire résonner le miracle de tes actions avec (les vastes cordes mais on interprète...) les harpes des anges , Pour le pécheur Délivre le des fautes sur ces lévres. »

 

« Pour que puissent résonner sur les cordes détendues de nos lèvres les merveilles de tes actions, enlève le péché de ton impur serviteur, ô Saint Jean"

 

Il s'agit donc d'un hymne à Saint Jean, en fait Saint Jean-Baptiste (celui qui est venu avant Jésus, l'a baptisé, et est mort décapité), et non Saint Jean l'Évangéliste (celui qui a écrit le quatrième Évangile et l'Apocalypse).

 

Idées

-          Recherche d’acrostiche

-          Idée de lèvre 

-          Idée de corde

-          Saint Jean

-          Gui d’Arezzo. Le guide ?

-          Lien avec 778 et Roncevaux. Paolo Diacono. Il parait impossible d’affirmer que l’hymne a été écrit en 778.

-          Le chant lui-même (la première strophe suit la mélodie 560606 => 5 = DO)

-          Unité d’intervalle (savart, prony). Spirale => Vitruve => Ionique =>  Mode ionien 1 1 1/2 1 1 1 1/2

-          Palestrina (musicien italien, Préneste) => Polyphonie.

=> Tout cela ne donne rien de probant.

 

 

Il y a un lien net avec 580 (le codage des notes de musique, éventuellement la fête de la musique à la St Jean).

D’autre part 580 donne « X vaudra y » et ici on a besoin de la mesure.

Il parait fort possible que ceci soit l’indice de cela est que la mesure soit définie en 580. Il reste à savoir comment (ce qui correspond aux madits).

 

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5 octobre 2009 1 05 /10 /octobre /2009 16:47

Après avoir fait le constat dans un article précédent que les humains qui vivent sont ceux dont les ascendants ont eu une descendance, j’explore un autre truisme : l’Histoire est écrite par les vainqueurs.

 

Derrière cette formule, il me semble qu’il y a une généralité plus grande. En effet, ce n’est pas uniquement l’Histoire qui est en cause, ce sont toutes les histoires qui circulent ici ou là. La différence entre vainqueur ou vaincu c’est la différence entre ceux « qui causent dans le poste » et ceux qui écoutent.

 

Je constate que le système médiatique est concentré. Il y a une relative liberté d’expression (même dans le monde dans son ensemble). Mais elle est contrecarré par une concentration des « médias qui comptent » (ceux qui ont de l’audience). C'est-à-dire ceux qui font l’opinion.

 

En pratique, ce sont les cercles du pouvoir (dont celui de l’argent) qui contrôle ces médias. La censure bête du XIXème siècle n’a plus court. C’est plus subtil. On est submergé d’informations. Et surtout, on s’y entend pour discréditer les histoires « déviantes ».

 

Bref, il est assez improbable que ces cercles de pouvoir soient remis en cause.

 

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